École des travaux publics : formation et prix des cursus en génie civil et réseaux de canalisations

L’École des Travaux Publics forme des professionnels qualifiés dans des secteurs porteurs via l’apprentissage, combinant théorie et pratique.

• Formation gratuite pour les apprenants grâce au système d’apprentissage, avec financement par l’État et les entreprises
• Programmes diversifiés allant du CAP au BUT en génie civil et réseaux de canalisations, adaptés aux besoins du secteur
• Équipements pédagogiques de haute technologie sur plusieurs sites en Bourgogne-Franche-Comté
• Excellent taux d’insertion professionnelle avec 80% des diplômés employés dans les trois mois suivant l’obtention du diplôme

Pour tout investisseur cherchant à diversifier son patrimoine dans des secteurs porteurs, la formation aux métiers des travaux publics représente une opportunité intéressante. L’École des Travaux Publics se positionne comme un établissement de référence pour acquérir des compétences en génie civil et réseaux de canalisations. Avec ses sites principaux à Dijon et Besançon, cette école forme les professionnels de demain via l’apprentissage, une méthode alliant théorie et pratique. Le secteur du BTP connaît une demande croissante de main-d’œuvre qualifiée, offrant des perspectives d’emploi solides. Nous vous présentons ici les formations disponibles, leur organisation, les modalités financières et les débouchés professionnels qu’offre cet établissement.

Nos formations diplômantes en génie civil et réseaux de canalisations

L’École des Travaux propose un éventail complet de formations pour répondre aux besoins du secteur de la construction et des infrastructures. Chaque cursus est conçu pour développer des compétences techniques spécifiques, valorisées par les entreprises du BTP. En 2023, plus de 80% des diplômés ont trouvé un emploi dans les trois mois suivant l’obtention de leur diplôme.

Le catalogue de formations s’articule autour de plusieurs niveaux de qualification :

• BUT Génie Civil – Construction Durable : formation de niveau bac+3 préparant aux fonctions d’encadrement technique sur chantier
• Licence professionnelle Métiers du BTP : spécialisation en conduite de projets d’aménagement et travaux publics
• Bac professionnel Travaux Publics : formation complète pour devenir technicien qualifié
• CAP Constructeur de réseaux de canalisations : spécialisation dans l’installation de réseaux souterrains
• CAP Constructeur de routes et d’aménagements urbains : formation aux techniques de construction routière
• Technicien réseaux gaz : formation spécialisée pour l’installation et la maintenance des infrastructures énergétiques

Zoom sur le CAP Constructeur de réseaux de canalisations

Cette formation de niveau 3 (RNCP 35321) constitue la porte d’entrée idéale vers les métiers des infrastructures souterraines. Accessible dès 15 ans ou après une classe de 3ème, ce CAP forme des spécialistes de la pose de canalisations pour les réseaux d’eau potable, d’assainissement et de gaz. La maîtrise technique de l’installation de ces équipements essentiels fait de ces professionnels des acteurs clés de l’aménagement urbain.

Le programme développe des compétences en lecture de plans, implantation d’ouvrages, préparation de tranchées et pose des différents types de canalisations. Les apprenants acquièrent également les techniques de soudage et d’assemblage de matériaux comme l’acier S235, le polyéthylène et la fonte, essentiels pour garantir l’étanchéité et la durabilité des réseaux.

Formations de niveau supérieur et spécialisations

Pour ceux visant des postes à responsabilité, les formations supérieures comme le BUT Génie Civil offrent une expertise approfondie. Ces cursus abordent les aspects techniques mais aussi managériaux des chantiers d’envergure. La Licence professionnelle Métiers du BTP permet quant à elle de se spécialiser dans la conduite de projets d’aménagement, développant des compétences en gestion, planification et coordination d’ouvrages complexes.

Le programme Technicien réseaux gaz répond à une demande croissante d’expertise dans le domaine des infrastructures énergétiques, un secteur en pleine évolution avec la transition vers des solutions plus durables comme l’hydrogène ou le biogaz.

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Le principe de gratuité : comprendre le financement des formations

L’un des avantages majeurs de l’apprentissage réside dans son modèle économique avantageux pour l’étudiant. Conformément à l’article L.6211-1 du code du travail, les formations par apprentissage à l’École des Travaux sont gratuites pour les apprenants. Ce principe fondamental facilite l’accès aux métiers techniques du BTP sans barrière financière, un atout considérable pour qui cherche à investir dans son capital humain sans s’endetter.

Le financement repose sur un système tripartite impliquant l’État, les entreprises et les Opérateurs de Compétences (OPCO) du secteur de la construction. Chaque formation bénéficie d’un niveau de prise en charge défini selon sa nature et sa durée.

Aides financières pour les entreprises

Les entreprises qui recrutent des apprentis peuvent bénéficier d’aides substantielles, rendant l’embauche particulièrement avantageuse :

• Aides à l’apprentissage versées par l’État pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros selon l’âge de l’apprenti
• Exonérations partielles de charges sociales
• Prise en charge des coûts de formation par les OPCO du secteur
• Crédit d’impôt apprentissage dans certaines conditions

Pour certaines formations spécialisées, un reste à charge peut s’appliquer à l’entreprise lorsque le coût dépasse le niveau de prise en charge défini par l’OPCO. Ce montant représente généralement un investissement minime comparé à la valeur ajoutée d’un collaborateur formé aux techniques spécifiques de l’entreprise.

Options de financement pour les apprentis

Si la formation elle-même est gratuite, certains frais annexes restent à la charge des apprentis :

Certaines formations peuvent également être financées par le Compte Personnel de Formation (CPF) pour les personnes en reconversion professionnelle. Cette option permet de mobiliser les droits acquis au cours d’une précédente expérience professionnelle pour financer tout ou partie de la formation.

La rémunération perçue pendant l’apprentissage apporte une valeur ajoutée importante, permettant aux étudiants de percevoir un salaire tout en se formant. Ce revenu, calculé en pourcentage du SMIC selon l’âge et l’année de formation, couvre généralement les frais d’hébergement et de restauration.

L’organisation de l’apprentissage à l’École des Travaux

L’alternance constitue la pierre angulaire du modèle pédagogique de l’École des Travaux. Ce système associe périodes en entreprise et enseignements théoriques au centre de formation. Le rythme équilibré entre pratique professionnelle et acquisition de connaissances techniques permet une intégration progressive dans le monde du BTP.

Le contrat d’apprentissage s’étend généralement sur deux années avec une entreprise du secteur des travaux publics. Chaque année comprend 12 semaines (soit 420 heures) de formation au centre, le reste du temps étant consacré à l’application pratique en situation réelle de chantier.

Rythme de l’alternance

L’organisation temporelle des formations suit un calendrier précis :

• Première année : 12 semaines en centre de formation (420 heures) réparties sur l’année
• Deuxième année : 12 semaines en centre de formation (420 heures) réparties sur l’année
• Périodes en entreprise : selon le calendrier d’alternance établi en début d’année

Pour les personnes déjà titulaires d’un diplôme de niveau 3 dans un domaine connexe, une formation accélérée en un an est possible. Cette option permet d’acquérir une spécialisation complémentaire tout en bénéficiant d’une réduction de la durée du parcours.

Les semaines en centre de formation suivent un rythme intensif de 35 heures d’enseignement, alternant cours théoriques et applications pratiques sur les plateformes techniques. Ce format immersif favorise l’acquisition rapide des compétences essentielles au métier.

Suivi pédagogique des apprentis

L’École des Travaux a développé un système d’évaluation continue appelé Contrôle en Cours de Formation (CCF), particulièrement adapté aux formations techniques comme le CAP. Cette méthode présente plusieurs avantages :

• Évaluation progressive des compétences tout au long de la formation
• Mise en situation professionnelle réelle ou simulée
• Réduction du stress lié aux examens ponctuels
• Meilleure prise en compte des progrès individuels

Un maître d’apprentissage en entreprise et un tuteur pédagogique au centre de formation assurent conjointement le suivi de chaque apprenti. Cette double supervision garantit une cohérence entre les enseignements théoriques et leur application pratique, optimisant ainsi l’efficacité de la formation.

Implantations et équipements pédagogiques

L’École des Travaux dispose d’un réseau d’implantations stratégiques à travers la Bourgogne-Franche-Comté, permettant de couvrir efficacement les besoins en formation du territoire. Ces centres sont équipés de plateaux techniques à la pointe de la technologie, reproduisant les conditions réelles de chantier pour un apprentissage optimal des techniques de construction et d’installation.

Nos centres de formation en Bourgogne-Franche-Comté

Le site principal de Dijon, situé au 3 rue René Char, constitue le cœur administratif et pédagogique de l’établissement. Ce centre moderne accueille la majorité des formations en génie civil et réseaux de canalisations, bénéficiant d’une situation géographique idéale au carrefour des grands axes de communication.

À Besançon, le centre de la rue Auguste Lucien Vérité complète l’offre de formation avec des infrastructures dédiées principalement aux métiers des réseaux et de l’énergie. L’Ecopôle de Besançon vient renforcer ce dispositif avec des installations spécialisées dans les techniques écologiques et durables de construction.

D’autres sites partenaires complètent ce maillage territorial :

• Le Lycée Jeannette Guyot à Chalon-sur-Saône, spécialisé dans les formations en aménagement urbain
• Le Bâtiment CFA Nièvre à Marzy, qui héberge principalement les formations en construction de routes

Tous ces sites sont accessibles aux personnes en situation de handicap, avec des référents dédiés pour accompagner les apprenants ayant des besoins spécifiques.

Équipements techniques et plateformes pédagogiques

La qualité des formations repose sur des équipements professionnels permettant la manipulation des matériaux et technologies utilisés dans le secteur :

Les ateliers de pose de canalisations permettent aux apprentis de s’exercer sur différents types de réseaux (eau potable, assainissement, gaz) avec des matériaux variés comme l’acier S235, le polyéthylène haute densité ou la fonte ductile. Ces espaces reproduisent les contraintes d’un chantier réel, incluant les difficultés d’accès et les précautions de sécurité.

Des simulateurs d’engins de chantier offrent une première approche des machines utilisées dans les travaux publics avant la manipulation réelle sur le terrain. Ces outils pédagogiques innovants accélèrent l’acquisition des compétences tout en garantissant la sécurité des apprenants.

Des laboratoires d’essais de matériaux complètent ces équipements, permettant d’étudier les caractéristiques techniques des différents composants utilisés dans la construction d’infrastructures et la pose de réseaux.

Comment intégrer nos formations : processus d’admission et d’inscription

L’intégration à l’École des Travaux suit un processus structuré, conçu pour évaluer la motivation et les aptitudes des candidats tout en les accompagnant dans leur recherche d’entreprise d’accueil. Le calendrier d’admission s’étend principalement de janvier à septembre, avec des périodes clés à respecter pour optimiser ses chances.

Préparer son dossier de candidature

La première étape consiste à effectuer une pré-inscription en ligne sur le site internet de l’École. Cette démarche initiale ouvre le processus de sélection et permet d’être contacté pour la suite des opérations.

À partir de janvier, les candidatures officielles sont ouvertes avec un dossier complet à constituer. L’École traite les demandes rapidement, avec un délai de réponse annoncé de trois semaines après l’entretien et le test de positionnement.

Les prérequis varient selon le niveau de formation visé :

• Pour les CAP : niveau 3ème des collèges ou âge minimum de 15 ans
• Pour le Bac professionnel : titulaire d’un CAP du secteur ou niveau seconde
• Pour les formations supérieures : baccalauréat ou équivalent, avec prédilection pour les filières techniques

Le test de positionnement évalue les connaissances fondamentales et les aptitudes techniques du candidat. Il n’est pas éliminatoire mais permet d’adapter le parcours de formation aux besoins spécifiques de chaque apprenti.

Trouver une entreprise d’accueil

L’admission définitive est conditionnée à la signature d’un contrat d’apprentissage avec une entreprise du secteur. Cette étape cruciale bénéficie du soutien actif de l’École :

Le service d’aide à la recherche d’entreprise accompagne les candidats dans l’élaboration de leur CV, la préparation aux entretiens et la mise en relation avec des employeurs potentiels. Ce dispositif s’appuie sur un réseau de plus de 200 entreprises partenaires dans le secteur des travaux publics et de la construction.

Des sessions de coaching collectif et individuel sont organisées pour maximiser les chances de décrocher un contrat. Ces ateliers abordent les techniques de prospection, la communication professionnelle et la valorisation des compétences, même pour les candidats sans expérience préalable.

L’entrée en formation s’effectue généralement en septembre ou octobre, en fonction du calendrier académique. Des ajustements sont possibles pour des cas particuliers, sur demande auprès de l’administration de l’École.

Contenu pédagogique des formations en travaux publics

Les programmes de formation de l’École des Travaux conjuguent enseignements généraux et professionnels dans une approche équilibrée. Cette combinaison assure aux diplômés une polyvalence recherchée sur le marché du travail, alliant maîtrise technique et capacités d’adaptation essentielles dans un secteur en constante évolution.

Modules d’enseignement général

Les matières générales constituent le socle fondamental sur lequel s’appuient les compétences techniques. Elles comprennent :

• Mathématiques appliquées aux métiers du BTP (calculs de surfaces, volumes, dimensionnements)
• Sciences physiques (mécanique des sols, résistance des matériaux, hydraulique)
• Français et communication professionnelle (rédaction de rapports techniques, communication de chantier)
• Histoire-Géographie orientée vers l’aménagement du territoire
• Éducation Physique et Sportive adaptée aux exigences physiques du métier
• Anglais technique pour comprendre la documentation internationale et communiquer sur des chantiers multinationaux

Ces enseignements sont systématiquement contextualisés pour en montrer la pertinence dans les situations professionnelles réelles. Par exemple, les mathématiques sont directement appliquées aux calculs de métrés ou d’implantation d’ouvrages de génie civil.

Modules d’enseignement technique et professionnel

La dimension professionnelle occupe une place prépondérante dans le cursus, avec des enseignements directement liés aux techniques de construction et d’aménagement :

Le dessin technique et la lecture de plans constituent des compétences fondamentales pour tout professionnel du BTP. Les apprentis apprennent à interpréter et réaliser des plans d’exécution, à comprendre les symboles normalisés et à utiliser des logiciels de conception assistée par ordinateur.

La topographie, science de la mesure et de la représentation du terrain, occupe une place centrale dans la formation. Les techniques d’implantation, le maniement des instruments de mesure (niveau de chantier, théodolite, station totale) et l’interprétation des relevés sont abordés de manière approfondie.

Les techniques de chantier englobent l’organisation du travail, la préparation des zones d’intervention, la sécurisation des fouilles et tranchées, ainsi que les méthodes de pose spécifiques à chaque type d’ouvrage. Une attention particulière est portée aux normes de sécurité et aux procédures de prévention des risques.

L’enseignement de la technologie des matériaux permet de comprendre les caractéristiques et propriétés des différents composants utilisés dans la construction d’infrastructures : bétons, aciers, matériaux composites, revêtements bitumineux, etc.

Les compétences développées dans nos formations

L’approche pédagogique de l’École des Travaux vise l’acquisition de compétences opérationnelles immédiatement valorisables sur le marché du travail. Le référentiel de formation s’articule autour de savoir-faire techniques et de compétences transversales correspondant aux standards professionnels du secteur du BTP.

Savoir-faire techniques

Pour le CAP Constructeur de réseaux de canalisations, les compétences techniques développées couvrent l’ensemble du processus d’installation :

La lecture et l’interprétation des documents techniques constituent le point de départ de toute intervention. Les apprentis apprennent à décoder un dossier technique, comprendre les plans et schémas de réseaux, et à identifier les spécifications des matériaux et équipements à installer.

La préparation de chantier englobe l’évaluation des quantités de matériaux nécessaires, l’organisation du poste de travail et la sécurisation de la zone d’intervention. Cette phase préliminaire est cruciale pour garantir l’efficacité et la sécurité des opérations ultérieures.

Les techniques d’implantation et de traçage permettent de matérialiser sur le terrain les ouvrages à réaliser. Les apprentis maîtrisent l’utilisation des instruments de mesure et de marquage pour garantir la conformité des installations aux plans d’exécution.

La réalisation des tranchées et la pose des canalisations constituent le cœur du métier. Les formations abordent les différentes techniques d’excavation, le blindage des fouilles, la préparation des lits de pose et l’assemblage des éléments de canalisation selon les normes en vigueur.

Les opérations de remblayage et de réfection complètent le processus, avec une attention particulière portée à la qualité du compactage et à la finition des surfaces, garantissant la durabilité des installations et la sécurité des usagers.

Compétences transversales et savoir-être

Au-delà des aspects purement techniques, les formations développent des compétences comportementales essentielles dans l’environnement professionnel du BTP :

• Communication professionnelle et travail en équipe
• Autonomie et prise d’initiative dans le respect des consignes
• Adaptation aux évolutions techniques et réglementaires
• Conscience environnementale et gestion responsable des ressources
• Rigueur et précision dans l’exécution des tâches

Ces compétences transversales sont évaluées tout au long du parcours, tant au centre de formation qu’en entreprise. Elles constituent un facteur différenciant sur le marché de l’emploi, particulièrement apprécié des recruteurs du secteur.

Services et accompagnement des apprentis

L’École des Travaux met un point d’honneur à offrir des conditions optimales pour la réussite de ses apprenants. Une gamme complète de services d’accompagnement est proposée, couvrant aussi bien les aspects logistiques que pédagogiques et personnels.

Logement et restauration

Pour faciliter l’accès à la formation, particulièrement pour les apprentis résidant loin des centres de formation, l’École propose des solutions d’hébergement adaptées :

L’internat constitue la solution privilégiée pour les plus jeunes apprentis. Les chambres, individuelles ou partagées selon les sites, offrent un environnement propice aux études avec des espaces de travail dédiés. Des activités encadrées sont organisées en soirée pour favoriser la cohésion et l’intégration.

Pour les apprentis majeurs, des partenariats avec des résidences étudiantes à proximité des centres de formation permettent d’accéder à des logements à tarifs préférentiels. Ces options offrent davantage d’autonomie tout en maintenant la proximité avec l’établissement.

Les services de restauration en demi-pension proposent des repas équilibrés, adaptés aux besoins énergétiques des métiers physiques du BTP. Les menus sont élaborés par des nutritionnistes pour garantir l’apport calorique nécessaire tout en privilégiant la qualité nutritionnelle.

Accompagnement personnalisé et soutien

Le parcours de formation bénéficie d’un suivi individualisé pour maximiser les chances de réussite :

• Tutorat personnalisé avec un référent pédagogique dédié
• Soutien académique pour les matières présentant des difficultés
• Médiation en cas de problèmes relationnels en entreprise
• Accompagnement spécifique pour les personnes en situation de handicap

Le référent handicap de l’établissement joue un rôle crucial dans l’adaptation des parcours aux besoins spécifiques. Il coordonne la mise en place d’aménagements pédagogiques, techniques ou organisationnels pour garantir l’égalité des chances dans l’accès à la formation et à l’emploi.

L’aide à la recherche d’entreprise d’accueil constitue également un service particulièrement apprécié. Les conseillers en insertion professionnelle accompagnent les candidats dans leurs démarches, depuis la rédaction du CV jusqu’à la préparation aux entretiens d’embauche, en passant par l’identification d’entreprises correspondant au profil et aux aspirations de chacun.

Débouchés professionnels et perspectives d’emploi

Les formations de l’École des Travaux ouvrent les portes d’un secteur dynamique offrant des perspectives d’évolution intéressantes et une stabilité professionnelle enviable. Les métiers du génie civil et des réseaux de canalisations représentent un investissement professionnel sûr, avec des besoins constants en personnel qualifié sur l’ensemble du territoire.

Métiers accessibles après formation

Les diplômés de l’École des Travaux peuvent prétendre à divers postes en fonction de leur niveau de qualification :

Le constructeur de réseaux de canalisations intervient sur les infrastructures souterraines d’adduction d’eau potable, d’assainissement ou de distribution de gaz. Spécialiste de la pose et de l’assemblage de tuyaux en différents matériaux, il maîtrise les techniques de raccordement et d’étanchéité garantissant la fiabilité des réseaux.

Le constructeur de routes et d’aménagements urbains participe à la réalisation des voiries et espaces publics. Ses compétences englobent la préparation des terrains, la mise en œuvre des matériaux de revêtement et la réalisation des ouvrages annexes comme les bordures, caniveaux ou mobiliers urbains.

Le chef de chantier coordonne les équipes et supervise les travaux sur le terrain. Véritable pivot entre la conception et l’exécution, il assure le respect des plannings, la gestion des ressources et la conformité des ouvrages aux spécifications techniques.

Le technicien en génie civil intervient à différentes phases des projets d’infrastructure, depuis les études préliminaires jusqu’au suivi d’exécution. Ses compétences techniques lui permettent d’assister les ingénieurs dans la conception et le dimensionnement des ouvrages.

Évolutions de carrière possibles

Les métiers du BTP offrent de nombreuses opportunités d’évolution professionnelle, tant en termes de responsabilités que de spécialisation :

• Évolution vers des postes d’encadrement (chef d’équipe, conducteur de travaux)
• Spécialisation technique (expert en réseaux spécifiques, diagnostiqueur)
• Création d’entreprise (entrepreneur indépendant, artisan)
• Reconversion vers des fonctions support (études de prix, méthodes, qualité)

La formation continue tout au long de la carrière permet d’acquérir de nouvelles compétences et de s’adapter aux évolutions technologiques du secteur. Les organismes de formation proposent des modules spécifiques pour accompagner ces transitions professionnelles.

Le secteur des travaux publics offre également des opportunités à l’international, particulièrement dans les pays en développement où les besoins en infrastructures sont considérables. Les grands groupes français du BTP sont présents sur tous les continents et recherchent régulièrement des techniciens formés aux standards européens.

Témoignages de réussite de nos diplômés

Les parcours de nos anciens élèves illustrent la diversité des carrières possibles après une formation à l’École des Travaux. Ces success stories montrent la valeur ajoutée de nos cursus en génie civil et réseaux de canalisations sur le marché de l’emploi actuel.

Parcours professionnels inspirants

Thomas, diplômé du CAP Constructeur de réseaux de canalisations en 2018, a rapidement évolué au sein d’une entreprise spécialisée dans l’assainissement. Après trois années comme ouvrier qualifié, il a été promu chef d’équipe et gère aujourd’hui une équipe de six personnes sur des chantiers d’envergure dans la région de Marseille. Son expertise technique et ses qualités managériales lui ont permis de doubler son salaire initial en moins de cinq ans.

La polyvalence acquise pendant la formation a particulièrement bénéficié à Sophie, qui après son Bac Pro Travaux Publics, a intégré une PME locale avant de créer sa propre structure spécialisée dans les travaux de voirie et réseaux divers. Son entreprise emploie aujourd’hui huit salariés et intervient principalement sur des chantiers d’aménagement urbain pour des collect

La polyvalence acquise pendant la formation a particulièrement bénéficié à Sophie, qui après son Bac Pro Travaux Publics, a intégré une PME locale avant de créer sa propre structure spécialisée dans les travaux de voirie et réseaux divers. Son entreprise emploie aujourd’hui huit salariés et intervient principalement sur des chantiers d’aménagement urbain pour des collectivités territoriales.

Jérôme, titulaire d’un BUT Génie Civil obtenu en 2020, a choisi de se spécialiser dans le domaine des énergies renouvelables. Il travaille actuellement comme technicien d’études pour une entreprise concevant des infrastructures de support pour installations solaires et stockage d’énergie. Sa formation technique initiale, complétée par une spécialisation en électricité, lui permet de contribuer à des projets innovants combinant génie civil et technologies vertes.

Ces exemples montrent comment l’investissement dans une formation technique peut ouvrir des portes vers des secteurs variés et offrir un retour sur investissement rapide, tant en termes de stabilité professionnelle que d’évolution salariale.

Le réseau des anciens élèves

L’association des anciens de l’École des Travaux offre un bénéfice considérable pour l’insertion professionnelle des nouveaux diplômés. Ce réseau structuré facilite :

• Le partage d’opportunités d’emploi entre membres
• L’organisation d’événements professionnels et de rencontres avec les employeurs
• Le mentorat entre diplômés expérimentés et jeunes professionnels
• La veille sur les évolutions techniques et réglementaires du secteur

Les rencontres régulières entre promotions permettent également de maintenir un lien entre générations de professionnels et de faciliter les collaborations futures. Cet écosystème relationnel constitue un capital immatériel précieux pour tous les diplômés.

Pour les investisseurs que nous sommes, ce type de formation représente une opportunité intéressante de diversification de portefeuille humain. Le coût relativement modéré, associé aux perspectives d’emploi stables et bien rémunérées, en fait un placement sûr dans le capital compétences, avec un excellent rapport risque/rendement à moyen terme.